Semaine chargée sur Paris. J'ai notement assisté à une conférence sur le projet traque trace de l'écrivain Cécile Portier mené avec le Lycée Henri Wallon d'Aubervilliers. Au coeur de son dispositif une approche de la fiction au travers de statistiques et de divers indicateurs sociaux sous forme de diagrammes et de schémas. Les élèves étaient invités à créer un personnage en fonction de ces chiffres mais également à créer son cadre de vie grâce à des coordonnées GPS que les élèves visualisaient sur Google Street view. Enfin, le récit d'un secret concernant le personnage d'un élève que celui ci détenais sur le personnage d'un autre élève achevais de créer un réseau d'interdépendance complexe visible à son tour sous forme d'un diagramme. J'ai omis de dire que l'apparence physique du personnage était créé grâce à des statistiques relevés sur le lieu d'habitation par un logiciel de portrait robot. La conférence se situais dans un cadre plus large de réflexion sur le livre numérique. la question à été soulevée de l'intérêt des enfants pour l'écris dés lors qu'il s'appui sur des outils numériques. En écoutant la réponse de Cécile Portier il m'est apparut assez clairement qu'un écran dés lors qu'il affiche un traitement et qu'on commence à écrire produit de l'image animée. La danse des menus déroulants bien que se situant dans un espace de travail peu ludique produit une animation de l'ordre du film: un espace où la durée d'un évènement se déploie sous une impulsion. Cette perception à laquelle l'élève serait sensible dés les premiers mot tapés sur le clavier fonctionnerais à la manière d'un appel d'air vers des territoires d'ouverture où la fiction pourrait se déployer. Faire appel à d'autres outils logiciel tel que Street View à eu un effet très puissament démultiplicateur sur l'imagination des élèves. Quelle meilleur trace pour conclure cette Echappée Littéraire Assistée par Ordinateur (E.L.A.O) qu'un site Internet dédié: traque trace
Extrait d'un nouveau projet de compositing vidéo