Une nouvelle forme c’est comme un nouveau pli qui émerge à la surface : il y a une partie clairement visible qui dépasse du sol et une autre invisible qui descend en profondeur. Quelque chose de bipolaire qui modifie mon chemin de pièces en pièces dont la surface n’est que le plan moyen. Dans cette géométrie nouvelle du chemin par la forme, la surface n’est qu’un repère. Elle ne rend pas compte de ce qui, s’élève dans les airs et de ce qui s’enfonce dans le sol. Rien de symétrique pourtant entre ces deux directions. Juste un paysage géométrique à arpenter du regard et, pourquoi pas, inverser les polarités dans une approche alternative ou continue des 654 faces. Ici en image par Ernest Puerta.
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